Un pacte défunt ?

La Ministre de la Culture de la Generalitat, Natàlia Garriga.David Zorraquino (Europa Press)

Sur Internet, sur le site de la Generalitat de Catalunya, vous pouvez trouver la page d’un cadavre, celle du Pacte national pour la langue. On sait déjà que l’effacement numérique est impossible, et que si un flic passe une mauvaise journée et qu’à partir de ce moment il y a un témoignage numérique, mais toujours plus vos aventures seront préservées et il y aura quelqu’un ou où vous pourrez Attrape-les. Doncs bé, face aux traces de ce grand accord pour la Catalogne qui, un beau jour, semblait impliquer de grands efforts et qui devait donner à toute la langue un effort imbattable du pays.

Il n’est pas possible d’être aventureux de supposer que ce qui est inclus dans le travail du Pacte (l’annotation darrera sur les six activités intéresse tout le monde), comme le ministre de la Culture Natàlia Garriga et le secrétaire de politique linguistique F. Xavier Vila va présenter les résultats du processus participatif) sont dus au fait que certains partis vont contribuer et, surtout, au succès de deux appels électoraux, qui créent toujours une parenthèse qui nous invite à désirer tous les calaix là ça fait un mica de nosa. Comme le langage, toujours inconfortable pour celui qui ne veut pas être associé à un capteniment trop barretinal.

Mais nous ne connaissons pas seulement les premières mesures qui vont être prises au début du mandat de Garriga i Vila (comme une grande campagne de formation des enseignants qui inversera le déclin alarmant de la langue dans les salles de classe, qui se poursuit pel lapidation), ni du document qui sera préparé par un suivi d’experts qui arriveront à fer petits bolos per l’anomenat territori, ni du processus participatif présenté en marxa à travers le site Pacte, processus qu’il connaissait qu’il devait comprendre les politiques linguistiques des bonnes personnes. Et comme un beau jour la Queta réapparaîtra au rythme des Tyets, le Pacte disparaîtra dans le futur, comme s’il n’existait plus. Un rapport avec eux a également fait état des mesures pour la Catalogne annoncées par la Mairie de Barcelone à l’époque de Colau, dont nous n’avons plus entendu parler.

Malgrat això, tout doit être dit, certains phénomènes fan pensent que c’est mieux que ara fa a any, no pas en l’us social de la llengua (d’això en sabrem quelque chose l’any vinent, en que s’Ils il faut comprendre les données de l’Enquête sur les Usages Linguistiques de 2023), mais en étant conscient de la situation actuelle : chaque flic plus de gens maintiennent le davant catalan de gens qui (oh meravella) arrivent à les comprendre ; Les requêtes des étudiants s’accumulent en raison du changement arbitraire de langue à l’université, alors qu’il était autrefois courant de se tenir à l’écart ; Et de temps en temps, le locuteur tolère certaines choses comme «ma mère va avoir le C1 de catalan» ou parce qu’il s’intitule «Catalan de pagès», une langue qu’en réalité on trouve très riche.

Si l’orateur semble plus conscient, nous nous trouvons également dans un meilleur moment politique pour réviser le Pacte. Darrerament, nous avons vu des choses auxquelles nous n’avons pas cru, comme on a l’impression de parler catalan au Congrès et que le statut officiel est demandé à l’Europe, mais s’il y a une critique légitime de celui-ci, en soi, mateix est une bonne nouvelle , il faudrait que ce soit plus mesuré car le Catalan a continué à parler davantage ici, pas là. C’est un fait: le respect de la diversité linguistique ne se résout pas par un poste budgétaire qui est imputé après traduction et interprétation, mais doit être lié à l’exercice des droits linguistiques du locuteur, qui doit pouvoir participer à un contexte dans lequel le langage se développe naturellement et son exécution naturelle ne suit ni une chimère, ni une odyssée, ni un acte politique permanent.

Il y a eu plus de place pour les accords plus larges, de sorte que la dilution de Ciutadans et de son centrisme (rialles) a atteint le discours de la persécution de la Catalogne par l’Espagne jusqu’aux dossiers de la droite et de l’extrême droite. Les deux partis qui ont articulé des mesures sans précédent pour le catalan à Madrid et à Bruxelles, et qui se sont montrés au début partisans du Pacte pour la Langue, ont l’opportunité de réactiver les accords et d’appliquer des mesures qui ne servent pas seulement à concentrer les gros titres et à satisfaire les droits des députés eux-mêmes. Aussi, nous pouvons chanter des absoltes. Un pacte défunt ?