Le président de la France, Emmanuel Macron, est toujours à l'intérieur de l'avion, qui vient d'atterrir à l'aéroport de Hanói (Vietnam), où il se prépare à commencer une tournée asiatique. Juste au moment où les portes s'ouvrent et que le personnel de la Terre est sur le point de faciliter sa sortie de l'échelle couplée à l'avion, les deux bras de sa femme, Brigitte Macron, apparaissent dans l'avion, sans qu'elle soit complètement vue, et ses deux mains ont un impact sur le visage du chef de l'État français.
Dans l'enregistrement, cela donne l'impression d'être une agression physique en reprochant quelque chose en toute discussion. Les images ont été enregistrées et diffusées par l'American Agency Associated Press (AP) dimanche soir.
Macron reprend quelque chose, surpris par la réaction de sa femme et déplacé par le coup soudain du coup. Mais immédiatement, il y a un tour à saluer à l'extérieur, où l'aéroport et les participants de la presse sont perçus, qui a déjà enregistré les images. Ensuite, le couple présidentiel descend l'échelle; Macron s'occupe du bras de sa femme pour l'aider à descendre, comme elle le fait habituellement, mais elle ne le prend pas et préfère s'accrocher à la balustrade de la passerelle.
Les images ont commencé à circuler rapidement en ligne et les réseaux sociaux. Surtout dans les récits critiques avec le président, qui sont comptés à des milliers. Il y avait d'abord un déni d'Elysium, en veillant à ce qu'ils soient faux et impliquant également qu'ils avaient été créés via un système d'intelligence artificielle lié à des comptes «russes». Il est évident qu'à ce premier moment, la scène surprend également l'environnement de la présidence de la République, qui essaie simplement de convaincre qu'il n'est pas réel. Cependant, après les chèques de l'agence qui les ont enregistrés, les arguments ont changé.
Au début, selon «l'environnement» du président, cité de manière anonyme par l'agence AFP, c'était simplement un «petit différend». Ensuite, la description de la séquence a été réduite. « Ce fut une époque où le président et sa femme se détendaient avant de commencer le voyage, plaisantant entre eux (…). Ce fut un moment de complicité. Il n'était plus nécessaire de donner du matériel à la conspiration », a expliqué un membre de l'environnement présidentiel aux journalistes qui accompagnent le chef d'État lors de sa visite de l'Asie du Sud-Est, qui continuera à Indonésie et à Singapour.
Macron lui-même a donné des explications après quelques heures et a assuré que les images qu'il avait déjà vues à moitié planète faisaient partie d'un moment de distension du couple. « Nous avons plaisanté avec ma femme, comme nous le faisons assez souvent (…) pendant trois semaines, il y a des gens qui ont vu des vidéos et pensent que j'ai partagé un sac de cocaïne, que j'avais une main dans un président turc et qu'en ce moment j'ai une scène de jalousie avec ma femme.
Macron a fait référence à la controverse soulevée lors de son dernier voyage à Kiev avec le chancelier allemand, Friedrich Merz, et le Premier ministre britannique Keir Starmer. Dans certaines images distribuées par les agences, un morceau de livre blanc a été apprécié sur la table que de nombreux récits de médias sociaux ont assuré que c'était, en réalité, un sac de cocaïne. L'Elysee, également à cette occasion, est allée nier les informations et l'a liée à la Russie.