Le président de la Cour constitutionnelle, Cándido Conde-Pumpido, a permis toute la semaine du 23 au 27 juin afin que la plénière de l'organisme de garantie puisse examiner avec le temps et en profondeur le projet de phrase sur la loi d'amnistie. Condé-pompes répond ainsi à la lettre dirigée par le magistrat du bloc conservateur de la cour Enrique Arnaldo, qui a considéré que les trois jours d'une plénière ordinaire pouvaient être insuffisants pour cette délibération, il a donc demandé que la discussion sur la décision pourrait être étendue aux deux sessions plénières prévues pour juillet, qui se déroulerait le 7 et le 24 mois.
La majorité progressive des estimations constitutionnelles selon lesquelles les «lectures successives de la présentation» ne seront pas nécessaires lors des réunions plénières du mois de juillet, étant donné que tous les magistrats qui interviendront dans leur délibération et leur décision ont une copie du texte depuis le dernier jour 2 pour ce débat.
La plénière pour la délibération et le vote de la décision allait se développer entre le 24 et le 26 juin, avec la condamnation de la majorité progressiste qu'il serait suffisant de voter à cette dernière date. La demande du magistrat susmentionné, en revanche, a présenté ses doutes sur la viabilité de ce calendrier et a demandé qu'une prolongation des délais soit envisagée, de laisser la possibilité de prendre le vote de la peine au mois de juillet. Arnaldo a expliqué dans sa lettre qu'il avait fait cette demande afin que, étant donné une résolution de pertinence juridique particulière, les membres du tribunal ont eu l'occasion de faire «une pondération suffisamment détenue et non hâtive des arguments que, j'en suis sûr, chacun doit exposer».
À cette initiative et à la thèse sur laquelle elle était basée sur une éventuelle insuffisance du temps a répondu à condamos-pole avec l'autorisation des cinq jours ouvrables de la semaine du 23 au 27 juin « pour la délibération et le vote de la peine ». Le président de la Cour souligne également que cette prolongation est convenue « afin d'avoir suffisamment de temps et de maintenir la continuité de la délibération et de l'unité d'acte avec le vote ». Conde-Pumpid ajoute que «cette prévision, étudiée en détail en collaboration avec le magistrat du Président (vice-président de la Cour, Immaculée Montalbán), est nécessaire pour commencer en septembre, l'étude du reste des questions en attente», qui sont 30 ressources entre celles des communautés autonomes, les questions de la loi et des ressources à être condamnées par la loi n'ont pas été appliqués. Suprême que ses effets ne s'étendent pas au crime de détournement de fonds.
Dans sa résolution, le président de la Constitution affirme qu'avec la nouvelle décision adoptée sur les délais pour la discussion du projet de phrase et le vote correspondant sur l'appel présenté par le PP contre la loi d'amnistie, un temps est établi que «il est suffisant pour l'étude de la présentation, car il a été distribué plus de trois semaines à l'avance, comme demandé». Il explique également que le débat sur cette règle « sera dédié à deux plénières ». Le premier, qui commence ce mardi 10 juin, aura « informatif et non délibéré, où le magistrat du président fera une exposition détaillée de la proposition ». À son tour, le deuxième, deux semaines plus tard, servira à mener à bien « une étude précédente (au vote) et en profondeur de la proposition », et sera « un monographique complet, où la délibération souhaitée et nécessaire » peut être effectuée. Condé-Pumpido a également pris en compte le fait que l'allongement des délibérations au mois de juillet « le ferait grandement signé la peine, y compris des votes particuliers avant les vacances d'été. »