Un groupe d’agents de la police nationale a identifié le président de Nuevas Generaciones de Madrid, Ignacio Dancausa, et plusieurs conseillers du conseil municipal de la capitale ce mardi matin dans les environs de la Cité universitaire de Madrid. « Tout le monde faisait de la propagande électorale », selon des sources policières. La loi électorale indique qu’aucun acte de campagne électorale ne peut être diffusé ou réalisé une fois qu’elle est terminée. L’Université Complutense de Madrid célèbre ce mercredi les élections au Rectorat, où s’affrontent deux candidats, le vétérinaire Joaquín Goyache (Pampelune, 1962), qui occupe le poste, et Esther del Campo (Madrid, 1963), doyenne de Science politique.
Des sources policières racontent à ce journal qu’après onze heures du matin, ils ont reçu un appel téléphonique dénonçant la présence de plusieurs « hommes » faisant de la « propagande électorale ». Les agents, en les voyant, ont procédé à leur identification – leur demandant leur carte d’identité – et ont saisi des blocs d’enveloppes à côté d’une banderole. Par la suite, ils ont été relâchés. Entre los identificados se encuentra el presidente de Nuevas Generaciones del PP de Madrid, Ignacio Dancausa, y al menos tres asesores del Ayuntamiento de Madrid: Vicente Javier Segura, asesor de alcaldía, Álvaro Hernández Crespo, asesor de comunicación y Miguel Ángel sastre, asesor de la mairie. Dans le groupe se trouvait également Lola Montero, conseillère du secteur des travaux de la mairie de Madrid. Une porte-parole du PP à Madrid confirme que plusieurs membres ont été identifiés.
L’une des personnes identifiées a déclaré par téléphone que tout ce qu’elle cherchait à faire, c’était d’essayer d’amener les gens à venir voter. «Nous essayions de faire voter les gens. Nous n’avons pas collaboré. La police fait son travail », dit-il.
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