Le ministre d’État Joan Subirats a donné la plus grande foi au monde pour concevoir une loi universitaire, déjà approuvée, qui entend résoudre certains énormes problèmes des universités des dernières décennies ou siècles. Dans certaines déclarations préalables à l’approbation de la loi, Subirats a déclaré: « Les universités sont et continueront de fournir des piliers fondamentaux pour la préservation du pluralisme idéologique, pour la génération de connaissances, pour la préparation humaine et professionnelle des jeunes, etc. » (subratllats nostres). Ces expressions sont pour eux des matières très positives et lamentables, comme le sont ces extraits du préambule de la loi, qu’ils ont transcrits et traduits ci-dessous, tous deux postils de leur propre collita.
« Tout au long de l’histoire, la communauté universitaire a constitué un espace de liberté intellectuelle, d’esprit critique, de tolérance, de dialogue, de débat, de formation de valeurs éthiques et humanistes… » « L’université a été, Elle est et doit être une source de connaissances, de bien-être matériel, de justice sociale, d’inclusion, d’opportunités et de liberté culturelle ». Le « bien-être matériel » vous assure seulement qu’il y a des carrières dans la technique et l’économie —une rencontre avec le MIR agrée facture 1 500 euros net par mois— ; Et la « justice sociale » continuera de ressembler à une chimère si les étudiants issus de familles aux ressources modestes ne reçoivent pas de bourses substantielles.
« Le moment est arrivé où l’université doit à nouveau démontrer sa force d’adaptation et accompagner les transformations et reptes sociales, culturelles, technologiques, environnementales, scientifiques et institutionnelles qui caractérisent le changement de temps que nous traversons… D ‘In la restauration de la démocratie, la société a connu une transformation multidimensionnelle à l’échelle mondiale. Elle a approfondi la révolution scientifique et technologique, notamment dans le domaine de l’information et de la communication. La société a bénéficié d’une numérisation croissante… L’autonomie de l’apprentissage dans un environnement numérique permet à l’enseignant de se concentrer sur l’orientation de la réflexion et l’innovation de l’expérience d’enseignement, complétant ainsi le papier traditionnel focalisé sur le contrôle de la mémorisation.
Il n’est pas possible de traduire plus de passages du préambule de la nova llei d’universitats per adonar-se, comme on pouvait s’y attendre, que l’esperit de la llei — qui est celui qui compte, selon Montesquieu — n’entre pas en ligne de compte. en contradiction avec l’esperit del Pla Bologna per a l’ensenyament superior, mais plutôt la rebla : c’est le prix à payer pour faire partie d’une Union absolument technique, déspiritualisée et désintellectualisée.
La liberté intellectuelle, l’esprit critique, la tolérance et le diàleg n’échapperont pas à la vie universitaire au vu des réformes issues de la révolution de 1789, et sont des éléments qui ont toujours été plus propis des universités allemandes, françaises, anglaises ou italiennes qu’espagnoles. En Espagne, bien sûr, une atmosphère avec laquelle le préambule du nom décrit sera une réalité approximative entre le régénérationisme et la fin de la Seconde République.
L’université doit une nouvelle fois démontrer sa force pour s’adapter et accompagner les transformations et transformations sociales, culturelles, technologiques, environnementales, scientifiques… De cette affirmation, deux choses s’opposent complètement : s’adapter aux reptiles technologiques Pour les scientifiques, c’est tout à fait contre l’adaptation aux modes culturels de nos sociétés. Un flic de plus, le paradigme scientifique et technologique, ne contrôle pas mais est stimulé par la loi, sera contraint par la chair de poule culturelle et l’émergence d’une masse puissante de critique intellectuelle. Le grand défi socioculturel de toutes les sociétés développées et numérisées est précisément de compenser le paradigme technico-scientifique par une formation humaniste antithétique à la technologie. Par fi : supposer que la mémorisation n’est pas une tâche universitaire – ni éducative à aucun niveau, d’ailleurs – est une grave erreur. L’exercice de la mémoire a toujours été dans une affaire sociale plus bé que mauvais : nous ne pouvons pas anar tothora amb a estri a la butxaca that ens ho resolgui tot.
Qui est venu à la hauria de fer, doncs, pour l’université du futur ? Il peut être l’un des plus simples, avec només deux articles : 1. Personne ne sera professeur si abans ne fait pas un lliçó devant les étudiants d’un ancien professeur et démontre qu’ils serventix per ensenyar (l’enquête et la gestion viennent plus tard ); 2. Tous les étudiants d’un district universitaire, dans le cours qu’ils étudient, devront suivre entre 24 et 48 crédits d’un ou plusieurs cours en sciences humaines, à répartir parmi les dissolvants intellectuels : arts, philosophie et histoire . Pendant qu’ils ne sont pas là, les gros de nos diplômés et docteurs seront des spécialistes des connaissances scanyolits, des gens préparent à une vie civique, socialement harmonieuse, détendue et heureuse. La technique, et les menys face aux nouvelles technologies, ne constituent pas le cap de la préparation humaine ; celui d’une bonne ville non plus. Rappelez-vous Diderot : « L’instruction publique ne dépend pas des circonstances ; le seu fi doit être le mateix dans tout segle qualsevol : former des hommes vertueux et lucides. Si, en plus, ce sont de bons professionnels, ils sont parfaits.